Zone d’éducation privilégiée

Christophe Desmurger

A ses débuts, Louis enseignait en primaire dans une zone prioritaire. En arrivant dans le Vème arrondissement de Paris, il n’a jamais cru s’offrir une sinécure au milieu des bourgeois. Il sait que la partie est difficile partout.

Et comme à chaque pré-rentrée, il scrute avec inquiétude le moindre signe annonciateur de dérapage. Collègues aussi épuisés qu’irrités, directeurs défaits par le système, parents parfois déments quand il s’agit de leur progéniture. Et lui-même, est-ce qu’il n’a pas jeté l’éponge avant le premier cours ?

Louis est drôle. C’est ce qui le sauve. Et il retrouve toute sa flamme dès qu’il est en présence de sa classe. En présence d’un gamin à épauler. Quand se réveillent les mauvais instincts, Louis monte au front. Et cette année-là, c’est par la grâce d’une élève en colère, une élève « ingérable », qu’il s’offre un baroud d’honneur.

Éditions Anne Carrière

« Christophe Desmurger est passé d’une zone d’enseignement prioritaire à une zone privilégiée. Pour cet instituteur assez sourcilleux sur la mission du système éducatif républicain, ça change quoi ? »

Actualitté, Victor de Sepausy

« Une comédie réjouissante et satirique sur le monde de l’Éducation nationale. »

Causette, Lauren Malka

« Nous retrouvons Christophe Desmurger tendrement drôle dans ses portraits. »

LIRE-Le Magazine littéraire, Simon Bentolila

« Un témoignage, porté par un langage moderne et réel, que le lecteur aura plaisir à partager. »

Bulles de culture

« Tribune sur les difficultés croissantes que rencontrent les enseignants, et plus seulement dans les ZEP. »

Le Figaro.fr, Christophe Desmurger

« Desmurger confère un ca­ractère littéraire à ce car­net de bord fictif d’un ins­tit des beaux quartiers. »

Le Pays roannais, Pierre-Olivier Vérot

« Direct et sensible, ce journal de bord d’une année, offre une vraie photo de classe, et permet de mieux comprendre, sans ennui, le fonctionnement du système scolaire. »

Le Progrès, Muriel Morin

« La vie quotidienne dans une classe ordinaire, où chacun se révèle extraordinaire. »

L’Essor sarladais, Jean-Luc Aubarbier

Prix