Celle qui se métamorphose

Boris Le Roy

Sélection Prix Maison Rouge 2021

Nathan se réveille au côté d’une femme qui n’est ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre – en tout cas pas exactement la sienne. S’agit-il d’une hallucination ? Une consultation psychiatrique semble s’imposer pour Nathan. D’autant qu’au fil de cette histoire, remettant en question toutes les certitudes du narrateur, Anne ne cesse de se métamorphoser, de se démultiplier à l’infini. Qui peut dire jusqu’où iront ces mutations ? Et dans quelle étrange spirale, elles entraîneront Nathan ?

Avec cette fantaisie littéraire, Boris Le Roy explore le mystère de la féminité et met en scène la nécessité d’une réinvention permanente de soi dans la relation à l’autre.

Couverture Celle qui se métamorphose

Éditions Julliard

« Drôle et passionnant. »

Les Inrockuptibles, Yann Perreau

« Boris Le Roy signe une savoureuse parabole sur la mutabilité des identités faibles, entre panurgisme béat et rêves de prothèses transhumanistes. »

Le Point, Marc Lambron

« Une situation rocambolesque prétexte à une interrogation buissonnière sur les relations homme-femme. »

Le Soir, Cédric Petit

« Un jeu de pistes qui s’amuse de nos identités égarées dans un monde en mutation. »

L’Obs, Elisabeth Philippe

« Une expérience littéraire fantaisiste bienvenue. »

La Fringale Culturelle, Christophe Mangelle, Alexandre Latreuille, Hugo Parada

« Boris Le Roy aborde merveilleusement à la fois l’intimité la plus douce et les pensées les plus analytiques. »

TouteLaCulture.com, Yaël Hirsch