Dans les oiseaux
Xavier Lapeyroux
Milan doit se rendre à l’évidence. Tout converge. Les attaques de corbeaux qui frappent Paris, les cours de cinéma qu’il donne sur Hitchcock, la mort de sa compagne, Suzanne, dans les mêmes circonstances que celle de l’institutrice des Oiseaux. Sans compter la ressemblance frappante entre Suzanne Pleshette, la comédienne du film, et la femme qu’il aime.
C’est comme si la fiction avait ouvert une porte sur le monde réel, par laquelle les oiseaux se seraient engouffrés pour semer la terreur.
Milan doit se rendre à l’évidence, une chance s’offre à lui. Une chance inestimable. Son projet est simple, invraisemblable, irrationnel : emprunter ce passage en sens inverse. Entrer dans Les Oiseaux. Puis suivre le scénario pour retrouver Suzanne…
Éditions Anne Carrière
« Ici l’auteur profite de la fiction pour modifier au mieux le réel. »
Libération, Mathieu Lindon
« Dans ce thriller glaçant teinté de fantastique, Xavier Lapeyroux rend un bel hommage au maître du suspense. »
L’Obs, Véronique Cassarin-Grand
« Xavier Lapeyroux réussit à créer du suspense sur le suspense et à rajouter de la fiction dans de la fiction. »
Quinzaines, Léonore Queffélec
« Xavier Lapeyroux signe un livre-hommage, doublé d’un jeu bien ficelé sur le vrai et le faux. »
Trois Couleurs, Bernard Quiriny
« Xavier Lapeyroux publie un quatrième roman qui mélange réel et fantastique. »
La Fringale culturelle, Christophe Mangelle
« Un thriller psychologique et fantastique. »
La Gazette du Val d’Oise, Axelle Bichon
« La fiction est-elle plus terrifiante que la réalité ? »
Quinzaines, Léonore Quéffelec
Equinox, Nico Salvado
RTBF
« Majuscules », Eddy Caekelberghs (à partir de 44’55 »)
« Roman labyrinthe qui devrait ravir les cinéphiles et passionner les fans d’Alfred mais aussi captiver celles et eux qui n’ont qu’un lointain souvenir du film. Car la plume serrée et manipulatrice de Xavier Lapeyroux opère admirablement et nous capture jusqu’aux derniers chapitres où l’en découvre que la loi de la fiction est plus retorse et immuable que l’on ne croit. »