De l’autre côté du lac
Xavier Lapeyroux
En temps normal, La Colline est un quartier tranquille. En temps normal, Hermann mène une vie rassurante aux côtés de sa femme et de Sam, leur fille de 16 ans. Mais leur villa, surplombant le lac, n’est plus le refuge qu’elle était : des coups de feu retentissent, des adolescents disparaissent, des orages menacent. Et même au Pavillon, le foyer pour mineurs où Hermann travaille, la tension a atteint un niveau alarmant. C’est un début d’été chargé de mauvaises ondes et d’événements inexplicables, telle l’apparition soudaine de cette maison sur l’autre rive, une maison en tous points identique à la leur. Hermann décide de réagir, de protéger sa famille, de chercher un moyen de la mettre en sûreté. Une obsession irrépressible, aveugle et sans limite qui le conduira loin, au-delà de ce qu’il croyait possible.
Au bord de la raison et du monde réel.
De l’autre côté du lac.
Éditions Anne Carrière
« On pense autant aux bijoux du récit de démence, Le Horla ou Gogol, qu’à la fantastique Invention de Morel de Bioy Casares. »
Livres Hebdo, Sean James Rose
« Xavier Lapeyroux a réussi avec humour un vrai roman d’horreur. »
Libération, Mathieu Lindon
« Lapeyroux ne perd jamais en chemin son lecteur, l’efficacité de son écriture l’empêchant de verser dans l’hermétisme. Il y a une griserie évidente à suivre ce type embarqué malgré lui dans une intrigue qui flirte avec l’onirisme. Xavier Lapeyroux joue habilement sur le registre d’un trouble proche de la terreur psychotique. »
Le Matricule des Anges, Anthony Dufraisse
« Glaçant comme un épisode de “la Quatrième Dimension”. »
L’Obs, Véronique Cassarin-Grand
« Un roman qui se dévore de la première à la dernière page ; dérangeant, envoûtant, fascinant. C’est un gros coup de coeur. »
WebTV Culture, Philippe Chauveau
« De l’autre côté du lac est un thriller psychologique teinté de fantastique bien maîtrisé, explorant la figure du double, à la croisée de Lunar Park de Bret Easton Ellis et de L’Invasion des profanateurs. »
Lire, Meriem Djebli
« Les eaux du lac sont troubles : gare à la noyade ! »