La discrétion
Faiza Guène
Sélection Prix littéraire de la Porte Dorée
À peine adolescente, elle a brandi le drapeau de la Liberté.
Quarante ans plus tard, à Aubervilliers, elle vit dans la discrétion.
Pour cette mère, n’est-ce pas une autre façon de résister ?
Mais la colère, même réprimée, se transmet l’air de rien.
Dans La Discrétion, Faïza Guène rassemble les fragments d’une histoire intime qui vient bouleverser le récit national.
A paraître aux éditions Pocket
Éditions Plon
Agent littéraire Ouarda Benlaala
« Remarquable de justesse. »
L’Obs, Grégoire Leménager
« Un roman pour l’honneur de ses parents. »
Le Point, Hassina Mechaï
« Gary m’a montré ce qu’est la littérature. »
Enquête L’Obs, Elisabeth Philippe
« Une langue gouailleuse et élégante, un regard acéré. »
Le Parisien, Hubert Artus
« Un roman d’une tendresse infinie. »
Causette
« Une bulle d’humanité en plein cœur d’une société ubérisée. Vive La discrétion ! »
#Lecturesconfinement, Hebdoscope, Christophe Desmurger
« Un roman bouleversant. »
Technikart
« Sans pathos, les douleurs et les errances partagées par de nombreuses familles algériennes. »
Mediapart, par Hacibam
« Un roman drôle et acide. »
Biba
« Un roman d’une justesse folle. »
Slate, Thomas Messias
« Faïza Guène nous embarque dans une famille hautement touchante. »
Culture 31, Sylvie Vaz
« Douée pour la vie, la romancière garde le sens du détail qui percute comme une vanne absurde. »
Tribune de Genève
« La dégaine tonitruante des débuts s’est effacée pour une gravité plus réfléchie. Douée pour la vie, la romancière garde le sens du détail qui percute comme une vanne absurde. »
24 Heures, Cécile Lecoultre
« Un grand roman à ne pas manquer ou le portrait d’une femme hors du commun, passée de l’Algérie coloniale à Aubervilliers. »
RFI, Tirthankar Chanda
« La discrétion comme résistance. »
Le Quotidien, Serge Bressan
France 5, « La grande librairie », François Busnel
« Le nouveau roman de Faïza Guène mérite tous les prix. »
France Info, « Le 23h », Patricia Loison
France Inter
« Une semaine en France », Claire Servajean