Staline a bu la mer

Fabien Vinçon

Lauréat Prix du Roman TMV 2023
Lauréat Prix Plumes d’Équnoxe OcéariumFinaliste Prix Cazes 2023
Sélection Prix Orange du Livre 2023
Sélection Prix Ouest-France Étonnants Voyageurs 2023

1949, Staline est attaqué dans son sommeil par un ennemi invisible : un vent aussi traitre qu’inquiétant. D’après les scientifiques, une étendue d’eau, là-bas, en Asie centrale, serait le berceau de ce souffle sacrilège. Qu’à cela ne tienne, le père des peuples ordonne l’asséchement de la mer d’Aral. Et pour accomplir cette mission colossale, on désigne le jeune ingénieur Leonid Borisov.

Enfant abandonné dans le chaos de la Révolution, Leonid a trouvé jusque-là sa raison d’être à travers le communisme. Mais dans les steppes, loin de la capitale, le doute ne tarde pas à attaquer sa ferveur. Cette mer millénaire mérite-t-elle un tel acharnement ? La puissance de l’homme passe-t-elle par la domination des éléments ?

À travers l’histoire d’une entreprise insensée, Fabien Vinçon raconte le désir destructeur d’un tyran qui affronte le dernier adversaire à sa mesure : la Nature. Ici, rêve et mysticisme se mêlent à la réalité pour livrer l’histoire de l’un des écocides majeurs du XXème siècle.

Éditions Anne Carrière

« La plus grande catastophe écologique du XXe siècle. »

Actualitté, Barbara Fasseur

« Quand la science se met au service de l’absurde, c’est diablement fou. »

Avantages, Nathalie Six

« Disparition de la mer d’Aral : un écocide orchestré par l’URSS en Asie centrale. »

Geo.fr, Nastasia Michaels

« Fabien Vinçon reçoit le prix Plumes d’Équinoxe Océarium »

Ouest France

« Hilarant, inquiétant, nécessaire. »

Historia, Eric Pincas

« Une histoire folle servie par une écriture superbe. »

VSD, François Julien

« Le fantastique guette, l’amour aussi. Mélange détonant. »

Le Soir, Pierre Maury

« Alternant la poésie et le réalisme, l’auteur retrace les combats intimes d’un jeune ingénieur pétri de foi marxiste, chargé par Staline d’un projet fou : vider la mer d’Aral. Cet ouvrage très réussi tient en haleine le lecteur en le plongeant dans une époque révolue. Il renvoie aussi à notre propre relation à la nature. »

L’Usine nouvelle, Anne-Sophie Bellaiche

« Mélangeant habilement les tonalités, Fabien Vinçon livre un récit à la fois truculent et terriblement amer. »

Télé 2 semaines, Camille Brun

« Un roman entre folie et surnaturel, où la nature devient ennemie du peuple. Plus exactement du pouvoir sans limite d’un dictateur sans foi ni loi. »

L’Indépendant, Michel Litout

« Le récit est poétique, envoûtant, fascinant… et inquiétant quant à la folie des hommes. »

Femmes d’aujourd’hui, Michel Dufranne

« Un livre qui vous emporte et vous interpelle fortement. »

Le Populaire du centre, Muriel Mingau

« Le passionnant récit d’une irréversible catastrophe écologique, sous l’angle du réalisme magique. »

La Nouvelle République du centre, Pascale Fauriaux

« II y a du réalisme, il y a de la fable, il y a de la fiction, mais pas que. Les frontières sont toujours floues et Staline a bu la mer raconte in fine l’une des plus grandes catastrophes écologiques du XXe siècle. »

TMV, Aurélien Germain

« Aral asséchée, entre farce et tragédie. »

Culture-Tops, Bertrand Devevey
LH Le Mag, Sean Rose
I
France Inter

« Chroniques littorales », José Manuel Lamarque

I
RFI

« Vous m’en direz des nouvelles », Jean-François Cadet